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L'agriculture comme fer-de-lance du développement économique gambien L'agriculture comme fer-de-lance du développement économique gambien
Côte d'Ivoire et Afrique occidentale
L’agriculture comme fer-de-lance du développement économique gambien

La Banque africaine de développement (Bad) souhaite investir dans le secteur agricole gambien afin d’en faire l’un des principaux moteurs économiques du pays.

Près de 40 millions de dollars, issus du Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire et de financements privés, vont en effet rapidement renforcer le secteur.

Le but ? Faire muter l’agriculture de substance locale en activité commerciale à part entière. Et ainsi limiter la dépendance gambienne aux importations alimentaires qui affaiblissent année après années les réserves nationales de devises étrangères.

Concrètement, les périmètres d’irrigation aménagés et réhabilités atteindront, d’ici 2025, le périmètre de 287 hectares. Ce qui boostera les investissements au sein des usines de transformation alimentaires, et de facto, la production domestique. Et cela, sur des produits de base tels que le riz, la volaille, l’arachide, mais aussi en matière d’aquaculture.

Focus sur le le Programme alimentaire mondial (PAM)

Pour rappel, le Programme alimentaire mondial fournit une aide vitale à 87 millions de personnes vulnérables.

Compte tenu des effets de la crise sur le secteur alimentaire et agricole, des mesures rapides sont nécessaires pour garantir que les chaînes d’approvisionnement alimentaire soient maintenues en vie afin d’atténuer le risque de chocs importants ayant un impact considérable sur l’humanité, en particulier sur les pauvres et les plus vulnérables.

Afin de faire face à ces risques, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) exhorte donc les pays à :

  • répondre aux besoins alimentaires immédiats des populations vulnérables ;
  • renforcer les programmes de protection sociale ;
  • maintenir le commerce alimentaire mondial ;
  • maintenir les rouages de la chaîne d’approvisionnement nationale en mouvement ;
  • appuyer les capacités des petits exploitants agricoles pour relancer la production alimentaire.

A lire aussi : Un accord diplomatique pour les eaux entre le Sénégal, la Mauritanie, la Gambie et la Guinée-Bissau

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