Le 9 août dernier, l’ONG française, Acted, annonçait l’assassinat dans le désert nigérien de six de ses humanitaires (deux hommes et quatre femmes). Le tout, dans des conditions particulièrement macabres.
Dans les faits, les jeunes humanitaires français ont perdu la vie dimanche 9 août avec leur chauffeur et leur guide locaux. Et cela, alors qu’ils visitaient la réserve de girafes de Kouré, à 60 km au sud-est de la capitale où ils résidaient, relaie le site 20 minutes.
De son côté, l’enquête de Niamey avance et un premier suspect est actuellement « passé au peigne fin ». De quoi éclaircir un peu plus cette horrible affaire, confirme le ministre nigérien de l’Intérieur, Alkache Alhada.
« Nous sommes actuellement sur des pistes sérieuses, des pistes qui peuvent nous conduire aux auteurs de ces actes (…) Nous avons certaines informations qui nous donnent des indications sur des probables acteurs de ces crimes horribles (…) et nous pensons que ça va nous mener à des résultats positifs. »
Pour rappel, le gouvernement français a décidé de placer le Niger en zone rouge – contrairement à ses voisins du Mali et du Burkina Faso – suite à cet événement qui n’a pas manqué d’émouvoir la population hexagonale.
A lire aussi : Le Niger essuie ses pertes militaires les plus effroyables face au djihadisme
Laisser un commentaire
Notice: Undefined index: stream in /var/www/virtual/tribuneouest.com/htdocs/wp-content/plugins/like-box/includes/widget.php on line 32