Face à la dangerosité causée par les motos-taxis, les autorités de Lagos vont les interdire (ainsi que les tricycles à moteur) dès le 1er février prochain. Et cela, dans les principaux districts de la ville ainsi que sur tous les grands axes autoroutiers environnants.
Le but étant de réduire de façon exponentielle le nombre de drames mortels au sein de la mégalopole connue pour son trafic chaotique. Et pour cause, France Tv Info confirme que plus de 10 000 accidents graves auraient été enregistrés dans les seuls hôpitaux généraux de 2016 à 2019.
Concrètement, ces deux moyens de transport sont utilisés par des millions de personnes, notamment les plus pauvres, et emploient des dizaines de milliers de jeunes sans formation.
Malheureusement, leurs »pilotes » – plus communément appelés okada et keke – ne respectent que très modérément le code de la route. D’où un nombre incalculable de vies perdues inutilement… Cet état de fait étant notamment alimenté par un manque criant de lignes de bus mises à disposition de la population locale.
En ce sens, le nouveau gouverneur de Lagos, Babajide Sanwo-Olu, a donc promis de s’attaquer aux problèmes de circulation qui plombent le quotidien des Lagotiens, poursuit le média.
A suivre…
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