Créé en décembre 2012 par Dominique Ouattara, le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire confirme son succès année après année. Ce dernier vient ainsi de franchir le cap symbolique des 200 000 femmes aidées sur le territoire.
« Permettre aux femmes de Côte d’Ivoire d’accéder à des ressources financières à coût réduit en vue de créer ou de renforcer des activités génératrices de revenus ; Former et sensibiliser les femmes sur la gestion des activités génératrices de revenus » : tels sont les objectifs que poursuit assidûment le FAFCI depuis maintenant plus de six ans.
Avec plus de 200 000 femmes aidées, c’est donc avec une certaine logique que Dominique Ouattara – déjà fortement engagée auprès des enfants ivoiriens – a été récompensée le 29 mars dernier par les Nations unies pour son action constante sur ces deux thématiques sociétales au combien essentielles.
Mais ce n’est pas tout, la Première dame de Côte d’Ivoire a également intégré la prestigieuse école française de commerce, HEC Paris, le mois dernier. Cette dernière siège ainsi au conseil consultatif international de l’institution aux côtés de plus d’une vingtaine de personnalités aux inspirations éclectiques (finance, média, opérateurs économiques…).
Pour information, les prêts issus du FAFCI sont accordés à titre individuel ou à des regroupements de femmes et oscillent entre 100 000 et 300 000 FCFA. En outre, ils ciblent prioritairement les personnes vulnérables et non bancarisées.
Logiquement, la multiplication progressive de son capital a permis d’augmenter considérablement le nombre de bénéficiaires de cette aide. Dans les faits, ces prêts sont remboursés à 95 %, un taux de remboursement bien supérieur à celui qu’affichent les banques commerciales, rappelle Jeune Afrique.
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