A compter du 1er janvier 2019, les touristes européens pourront poser pied au Cap-Vert sans demande préalable de visa. Et cela, pour des séjours de 30 jours maximum.
Par ailleurs, le gouvernement cap-verdien a annoncé la mise en place d’une taxe de sécurité aéroportuaire destinée à combler le financement des dispositifs de sécurité frontaliers.
Ainsi, « tous les passagers qui débarquent dans les aéroports et aérodromes du pays sur les vols nationaux ou internationaux devront s’acquitter (à la même date) d’une redevance de sécurité aéroportuaire (TSA) ».
Concrètement, « la TSA s’élève à 150 escudos (1.5 dollar américain) pour les vols domestiques et 3400 escudos (35 dollars américains) pour les vols internationaux”.
Des exemptions existent
Il est toutefois important de noter que les citoyens détendeurs d’un passeport cap-verdien ne paieront pas cette taxe sur les vols internationaux, tout comme les enfants de moins de deux ans.
Enfin, le dispositif exclut de facto les détenteurs de passeports diplomatiques.
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