A l’occasion de son dixième anniversaire, le Festival du Film francophone d’Angoulême (22-27 août) rend hommage à la Côte d’Ivoire. L’occasion également de relancer un cinéma africain un peu chancelant actuellement.
Jeune Afrique décrit l’événement comme « une sorte de Cannes décontracté où se côtoient sans façon stars d’ici (Albert Dupontel, Laura Smet, Stefi Celma, Claire Chazal…). Et surtout d’ailleurs (dont l’illustre acteur et réalisateur John Malkovich, président du jury, venu en tongs à la cérémonie d’ouverture).
Le tout dans un bouillon régional mêlant jeunes filles en fleur plus ou moins vêtues, vieux requins du grand et du petit écran, notables endimanchés en semaine et d’authentiques amoureux du cinéma. »
La Côte d’Ivoire, tête de proue du cinéma africain
Concrètement, poursuit le média, « dix films réalisés ou produits par des Ivoiriens » seront diffusés durant la semaine, à l’image du court-métrage Concerto pour un exil (1967) de Désiré Écaré ou du drame L’interprète réalisé en 2016 par Olivier Koné.
Pour la petite histoire, c’est la Première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, qui a fait le déplacement pour représenter son pays. Celle-ci n’a d’ailleurs pas manqué de saluer une manifestation culturelle reflétant la grandeur de la Côte d’Ivoire :
« Le festival est une belle opportunité pour que le pays soit mis en lumière devant un parterre si prestigieux », s’est-elle enchantée.
Source : Jeune Afrique
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